18 avril 2014
Dictée 18/04
Johannes s’approcha lentement du coin d’ombre d’où semblait s’élever cette musique. Il alluma
une chandelle et, lentement, avança vers ce mystère. Le son provenait du violon noir.
Avec mille précautions, Johannes se saisit de l’instrument, le contempla, prit un archet et, fermant
les yeux, se mit à jouer. La première note le fit tressaillir.
Maxence Fermine, Le Violon noir, éditions Arléa, 1999.
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